New York / La Haye, 21 mars 2017
PGA tient à réaffirmer que les menaces contre l’intégrité physique et/ou les poursuites motivées politiquement contre les parlementaires sont inacceptables et doivent continuer à faire l’objet d’une surveillance accrue des Nations Unies, de l’Organisation des Etats américains (OAS) et, si nécessaire, la Commission interaméricaine des droits humains en tant qu’organe principal et autonome de l’OAS en matière de promotion et protection des droits humains dans l’hémisphère américain.
PGA en appelle également au gouvernement du Venezuela de procéder à la libération des prisonniers politiques qui ont été privés de leurs droits humains les plus élémentaires, ainsi que renoncer à s’engager sur la voie de la criminalisation de l’opposition et du déni de démocratie et d’Etat de droit à ses citoyens.
A un moment où la République bolivarienne du Venezuela fait face à de nombreux défis, et afin d’améliorer les chances d’identifier des solutions à ces graves menaces à l’Etat, les Vénézuéliens méritent de se voir appliqués des principes démocratiques de droit de gouvernance largement acceptés.
PGA presse donc tous les partis engagés dans le processus de décision de respecter les droits humains fondamentaux de tous et les principes et normes consacrées par la Constitution et le droit international.