Le Suriname est un abolitionniste depuis mars 2015. Aucune exécution n’y a eu lieu depuis 1927.
Le Suriname a ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) en 1976 mais n'a pas encore ratifié le Deuxième Protocole facultatif sur l’abolition la peine de mort (ICCPR-OP2).
29 novembre 2017 : PGA a organisé un événement parallèle au 39ème Forum annuel de PGA à Milan (Italie), intitulé « S’éloigner de la peine capitale en Asie » (en anglais). Cet événement se concentrait sur les particularités et arguments pertinents au mouvement abolitionniste dans les pays d’Asie, mais a été ouvert par le témoignage de Hon. Patrick Kensenhuis, Membre de PGA, qui a partagé l’expérience de l’abolition de la peine de mort au Suriname.
5 mars 2015 : Grâce à la détermination et au leadership de Dr. Ruth Wijdenbosch, membre de PGA, et du Groupe national de PGA, le Parlement du Suriname a aboli la peine de mort dans le Code pénal (en anglais). C'est la première abolition à laquelle PGA a directement contribué dans le cadre de la Plate-forme parlementaire mondiale pour l'abolition de la peine de mort.
17 décembre 2014 : L'Assemblée générale des Nations Unies a adopté sa 4ème résolution appelant à un moratoire international sur l'application de la peine de mort avec un nombre record de 117 voix pour, soit 6 de plus qu'en 2012. Le Suriname a pour la première fois voté en faveur de la résolution, grâce à l’engagement de Dr. Ruth Wijdenbosch (en anglais), alors membre du Comité exécutif de PGA.
19 juin 2014 : Les membres de PGA ont participé à l'Assemblée annuelle de la Coalition mondiale à Porto Rico.
10 octobre 2013 : A l'occasion de la Journée mondiale contre la peine de mort, Dr Ruth Wijdenbosch, membre du Comité exécutif de PGA, a fait une déclaration marquante en faveur de l’abolition de la peine de mort à l’Union interparlementaire Genève (en anglais).